Takim Virtual me Maître M. Klit DELILAJ: « Studentët Pyesin Avokatin »
8 mars 2021Intervistë: Tri pyetje me Avokat Klit Delilaj / Firma Ligjore e KLIT DELILAJ
9 avril 2021Avocat inscrit au Barreau de Rennes, j’exerce ce métier essentiellement par vocation. Humain, réactif et efficace, je m’engage à mettre en œuvre tous mes moyens pour vous conseiller et vous représenter de la meilleure manière possible dans votre combat visant à faire prévaloir vos droits. Étant d’origine albanaise, je parle couramment ma langue natale, outre l’italien et l’anglais. J’exerce essentiellement en matière de droit pénal et de droit des étrangers, mais aussi en matière de droit des sociétés, droit commercial et en matière d’exécution de décisions étrangères en France.
CCIFA: Au cours de l’année passée, quels ont été les défis les plus importants que vous avez dû surmonter?
K. Delilaj: Comme tout chef d’Entreprise, j’ai été confronté moi aussi aux imprévus liés à la COVID 19 et j’ai du organiser dans l’urgence le fonctionnement de mon cabinet d’Avocats, notamment pendant la première période de confinement avec le télétravail et tout ce que cela a impliqué en termes de changement « d’habitudes quotidiennes de travail en équipe ».
Le fond de roulement en a été impacté. Sur le plan personnel, le plus dur a été le défi de continuer à aller de l’avant, sans être en mesure de programmer. En d’autres termes, pendant des mois, il m’a été impossible de faire des prévisions en termes d’agenda, de calendrier, de délais etc…
CCIFA: Quelles sont vos impressions sur l’environnement opérationnel actuel en France? À quels défis faites-vous face?
K. Delilaj: D’un côté, l’Etat social a montré ses avantages notamment eu égard aux entreprises qui se sont retrouvés avec une charge salariale importante (allegée par le mécanisme du « chomage partiel »).
Les prêts garantis par l’Etat ont aussi permis à certaines Entreprises de faire face aux besoins de trésorerie. Certains domaines de l’économie n’ont toujours pas repris leur fonctionnement depuis le second confinement (restaurants, cinémas…) et les aides étatiques leurs permettent de survire depuis octobre dernier. De l’autre côté, la lourdeur administrative, les critères restrictifs d’accès à ces aides, des règlementations parfois peu claires, voire contradictoires ont ôté une bonne partie de l’efficacité à ces mesures, réduisant notamment dans les faits, le nombre des entreprises qui ont pu réellement profiter des aides mises à disposition.
En définitive, l’épine dorsale de l’économie française, c’est à dire, les petites et moyennes entreprises ont du se « débrouiller », avec pour seule ressource leur courage, leur force de travail, leur résilience et leur imagination.
CCIFA: Quels sont les services de base proposés par CABINET D’AVOCATS KLIT DELILAJ et comment les membres de la CCIFA peuvent en servir?
K. Delilaj: Comme d’autres Cabinets d’Avocats, le mien a répondu aux besoins spécifiques de ses clients, nés pendant cette période inédite. Par exemple, il a su mettre en œuvre des actions en justice pour des entreprises à l’encontre des leurs assurances, notamment concernant la prise en charge des pertes d’exploitation.
Pour les personnes qui voyagent en dehors de l’UE (notamment entre la France et l’Albanie) pour leur travail, mon cabinet a su multiplier les procédures contentieuses contre les refus des visas. Parfois des procédures urgentes ont été initiées lorsque la situation l’imposait et la preuve pouvait en être rapportée. Les difficultés économiques ont amené parfois certaines entreprises françaises en relation avec des entreprises albanaises à ne pas respecter le paiement des factures a échéance, ou l’exécution des prestations pour lesquelles des acomptes avaient été payés. Les déclarations de créance dans le cadre des ouvertures des procédures collectives, ou le litige classique devant le Tribunal de commerce s’est ainsi accru.
Ce ne sont que des exemples parmi d’autres des besoins que les membres du CCIFA ont pu/pourraient avoir ….
En partenariat avec le Cabinet Droit et Lois qui exerce spécifiquement en gestion de patrimoine, des entreprises ayant leur siège en france pourraient bénéficier aussi d’une sorte d’analyse sur mesure des formes sociales et des choix fiscaux ou de forme sociale à faire pour s’adapter aux besoins et à la fiscalité du moment.
Les membres du CCIFA ayant de tels besoins ou d’autres peuvent me contacter par tous les moyens figurant sur mon site internet ou linkedin, m’en parler et nous verrons ensemble s’il est possible d’agir et de quelle manière.
https://www.ccifa.al/fr/actualites/n/news/interview-trois-questions-avec-m-klit-delilaj-cabinet-davocats-klit-delilaj.html